Dyspraxie : quand la maladresse extrême est pathologique

Cécile Thibert avec la collaboration de DMF, Le Figaro.fr 

ArticleLeFigaroCThibertDec2019

Faire ses lacets, enfiler un pull, faire du vélo, écrire… Pour les enfants atteints de dyspraxie, le moindre geste du quotidien peut devenir une montagne. Mais alors que 5 % des écoliers seraient concernés, ce handicap invisible peine à être repéré. Pis, leur maladresse est souvent perçue comme de la fainéantise ou de la mauvaise volonté. (…)

« Parcours du combattant », l’expression revient systématiquement dans la bouche des parents concernés. C’est le cas de Marianne Deletang, dont la fille Léa, 17 ans, est atteinte de dyspraxie. « Dès la première année de maternelle, nous avons vu que quelque chose n’allait pas. (…)

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