Catégorie : Nos actions nationales

Dyspraxie : mieux repérer et aider les enfants atteints

Florence Rosier avec la collaboration de DMF, Le Monde.fr

ArticleLeMondeFRosier16Dec2019

NEUROPEDIATRIE. L’Inserm publie une expertise collective sur le diagnostic, l’accompagnement et la prise en charge des personnes souffrant de ce handicap méconnu, qui les rend maladroits dans l’écriture comme dans les gestes du quotidien 

Ils ont du mal à boutonner leur manteau, à découper leur viande ou lacer leurs chaussures, à prendre le bon bus dans la bonne direction… Tout geste qui requiert une coordination fine, tout repérage dans l’espace est pour eux un défi quotidien. Ecrire, en particulier, reste une épreuve, pour des résultats souvent décourageants. « Lorsque ma fille découpait des bonhommes, ils n’avaient ni tête, ni jambes, ni bras », témoigne Marianne Delétang, présidente de la Fédération « Dyspraxique mais Fantastique ». 

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Dyspraxie : quand la maladresse extrême est pathologique

Cécile Thibert avec la collaboration de DMF, Le Figaro.fr 

ArticleLeFigaroCThibertDec2019

Faire ses lacets, enfiler un pull, faire du vélo, écrire… Pour les enfants atteints de dyspraxie, le moindre geste du quotidien peut devenir une montagne. Mais alors que 5 % des écoliers seraient concernés, ce handicap invisible peine à être repéré. Pis, leur maladresse est souvent perçue comme de la fainéantise ou de la mauvaise volonté. (…)

« Parcours du combattant », l’expression revient systématiquement dans la bouche des parents concernés. C’est le cas de Marianne Deletang, dont la fille Léa, 17 ans, est atteinte de dyspraxie. « Dès la première année de maternelle, nous avons vu que quelque chose n’allait pas. (…)

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L’école de la confiance ?

Lettre ouverte aux sénateurs – 21 mai 2019

Quel avenir pour nos enfants lorsque cette loi dite « Ecole de la confiance » sera voté ?

Notre association représente des familles d’enfants dyspraxiques et milite pour alerter les pouvoirs publics afin que cessent les discriminations, l’exclusion et qu’une scolarité inclusive soit garantie à nos enfants.

Nous vous rappelons que la loi du 11 février 2005 dite « LOI POUR L’EGALITE DES DROITS ET DES CHANCES, LA PARTICIPATION ET LA CITOYENNETE DES PERSONNES HANDICAPEES » apporte des évolutions pour répondre aux attentes des personnes handicapées dans cinq grands domaines : la compensation, la scolarité, l’emploi, l’accessibilité et les Maisons Départementales des Personnes Handicapées. Elle met en œuvre le principe du « DROIT A COMPENSATION » des conséquences du handicap quels que soient l’origine et la nature de la déficience, l’âge ou le mode de vie de la personne.

Sur la scolarité, le droit d’inscrire à l’école et prioritairement en milieu ordinaire tout enfant qui présente un handicap constitue une des évolutions fondamentales de cette loi.

Or, en modifiant l’article L 112-1 du code de l’éducation par l’ajout de cette petite phrase « La scolarisation en milieu ordinaire est un droit dans la mesure où elle favorise les apprentissages et permet de conforter l’enfant, l’adolescent ou l’adulte handicapé dans ses acquis pédagogiques », le législateur porte atteinte aux droits fondamentaux des enfants handicapés et incite à la discrimination.

Si le texte était approuvé en l’état, il contribuerait à introduire une condition de performance scolaire visant à conforter les acquis pédagogiques et cela uniquement pour les élèves en situation de handicap.

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Entretien avec Marianne Deletang, Présidente de la Fédération Dyspraxique mais Fantastique

Par corcosa le jeudi 14 mars 2019

En prolongement de mon précédent article portant sur les troubles Dys  j’ai interviewé la présidente de la Fédération Dyspraxique mais Fantastique (DMF), qui apporte aide et soutien aux familles concernées par la dyspraxie ou TDC (trouble développemental de la coordination) et les troubles associés (dyslexie, dyscalculie, dysgraphie, dysorthographie, TDA/H). Marianne Deletang est également maman de Maï-Linh, 16 ans, qui est multi-DYS (dyspraxique, dyslexique, dysorthographique, dyscalculique avec également des troubles de l’attention et du spectre autistique).  Elle nous livre son expérience, ses conseils et une vision très positive des enfants présentant des troubles Dys !

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